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Machineur	Ouvrier du service des machines
Mac-Mahon Morny ( Duc de )	Ministre de l'intérieur en décembre 1851, puis président du corps législatif : Modèle de Marsy, dans son excellence Eugène Rougon . Morny, Charles, duc de (1811-1855), homme politique français, l'une des figures dominantes du second Empire. Fils naturel d'Hortense de Beauharnais, Charles Auguste de Morny fut le demi-frère de Napoléon III. .Officier sous la monarchie de Juillet, il participa à la conquête de l'Algérie, puis, à partir de 1838, se lança dans l'industrie du sucre. Élu député du Puy-de-Dôme en 1842, il soutint le ministère Guizot et, après s'être rapproché de Louis-Napoléon, il participa au coup d'état du 2 décembre 1851. Nommé alors ministre de l'intérieur, il mena une sévère répression contre les républicains et démissionna en 1852 pour ne pas participer à la confiscation des biens de la famille d'Orléans. Président du Corps législatif de 1854 à 1865, avec un intermède de deux ans durant lesquels il fut ambassadeur en Russie, il participa à la vie économique et mondaine du second Empire, fondant la station balnéaire de Deauville et incitant le gouvernement français à intervenir au Mexique en 1861.
Macquart Antoine	(1789-1873) - 3 enfants- La Fortune des Rougon - La Conquête de Plassans - Le Docteur Pascal
Macquart Gervaise	(1829-1869) - 4 enfants - *L'Assommoir*
Macquart jean	(1831-…) - 2 enfants Troisième enfant d'Antoine Macquart et Joséphine Gavaudan; frère de Lisa et de Gervaise. Après avoir été soldat, est devenu garçon de ferme à la Borderie, à Rognes. Épouse Françoise Fouan; quitte le pays après la mort de cette dernière. La Terre - La fortune des Rougon - La Débâcle
Macquart Lisa	(1827-1863) - 1 fille - *Le Ventre de Paris*
Macquart Ursule	(1791-1840) - 3 enfants - *La Fortune des Rougon*
Macqueron	Épicier - cabaretier à Rognes - *La Terre*
Macqueron (Berthe)	Fille des précédents - *La Terre*
Macqueron (coelina)	Femme du précédent - *La Terre*
Madeline (abbé)	Curé à Rognes, ou il ne restera pas. - *La Terre*
Maheu Alzire	"si chétive pour ses neuf ans" bossue, "infirme" - *Germinal*
Maheu Catherine	15 ans sait lire et écrire "cheveux roux", "Fluette pour ses quinze ans, elle ne montrait de ses membres, hors du fourreau étroit de sa chemise, que des pieds bleuis, comme tatoués de charbon, et des bras délicats, dont la blancheur de lait tranchait sur le teint blême du visage, déjà gâté par les continuels lavage au savon noir." - *Germinal*
Maheu Estelle	Bébé de Trois mois - *Germinal*
Maheu Guillaume	"La veine Guillaume" - *Germinal*
Maheu Henri	4 ans - *Germinal*
Maheu Jeanlin	Frère de Zacharie , 11 ans, " Il était si petit, les membres grêles, avec des articulations énormes, grossies par des scrofules, qu'elle le prit, à pleins bras. Mais il gigotait, son masque de singe blafard et crépu, troué de ses yeux verts, élargi par ses grandes oreilles, pâlissait de la rage d'être faible. Il ne dit rien, il la mordit au sein droit." - *Germinal*
Maheu Lénore	6 ans - *Germinal*
Maheu nicolas	Germinal
Maheu Toussaint	Germinal
Maheu Vincent	Germinal
Maheu Zacharie	"L'aîné, un garçon de vingt et un ans" - *Germinal*
Maheude (la)	Germinal
Mahoudeau	*L'œuvre* Sculpteur, né à Plassans, ami de Claude et de Sandoz
Maigrat	Germinal
Maître	?
Malgras (le père)	*L'œuvre* Marchand de tableaux
Maliverne (rose)	*La Terre* Femme du père Fouan. Meurt peu après la démission de biens.
Manet	Édouard ( 23 janvier1832-1883) D'une famille bourgeoise, il manifeste très jeune son goût pour la peinture et le dessin . En 1849, il devient élève de Thomas Couture. Révolté contre l'académisme de l'époque, il demande à ses modèles de ne pas poser, de rester "naturels". Il remporte un vif succès au salon de 1861 mais scandalise la France en 1863 avec son déjeuner sur l'herbe ou une femme nue est entouré de deux hommes en costume , ou encore son Olympia. Ce "peintre de la vie moderne"(Baudelaire) s'insurge contre le jury du Salon et devient le plus célèbre des refusés. Il reçoit alors le soutien de tout un groupe d'artistes, dont Monet, Renoir et Bazille. En 1867, il organise sa propre exposition. Manet travailla avec Monet et Renoir à Argenteuil mettant en œuvre cette nouvelle technique que l'on vient de baptiser "impressionnisme". Pour en savoir plus : L'impressionnisme,
Marchandage	Négociation entre la compagnie et une équipe de mineurs sur le prix de la berline de charbon dans la veine déterminée.
Margaillan	*L'œuvre* Gros entrepreneur de maçonnerie, beau-père de Dubuche.
Margaillan (Mme)	Femme du précédent
Margaillan (Régine)	Fille des précédents. Épouse de Dubuche
Marsy	Son excellence Eugène Rougon Voir Morny
Marty Mme	Cliente du Bonheur des dames
Marx Alain	XIXème siècle : Reporter au figaro
Mascart (le père)	*Le Rêve* Aveugle paralytique, à Beaumont.
Mathias	*La Terre* Vieux bossu travaillant à la Borderie
Maxime	La Curée
Mazel	*L'œuvre* Peintre académique, président du jury du salon.
Meissonnier
Mélie	*L'œuvre* Nièce des Faucheur
Méline jules	Homme politique français (Remiremont, le 20 mai 1838, Paris le 20 décembre 1925) Avocat, il devient ministre de l'agriculture (1883-1885 et 1915-1916) et chef du gouvernement de 1896 à 1898. Ce qu'on lui doit : Il crée le mérite agricole en 1884, fait instituer le double tarif douanier (1892) et fait reconnaître par l'Italie, le protectorat français sur la Tunisie (Traité du 28-09-1896). En 1905, il lance la formule du "retour à la terre ".
Mignot	Vendeur au Bonheur des Dames ? "le joli"
Mimi-La-Mort	*L'œuvre* Élève du collège de Plassans
Misard	*La Bête Humaine* Stationnaire sur la ligne de l'ouest, à la Croix-de-Maufras. Empoisonne lentement sa femme, Phasie, pour lui voler une somme de mille francs dont elle a hérité.
Monarchie de juillet	Régime politique de la France correspondant au règne constitutionnel de Louis-Philippe, de 1830 à 1848. La monarchie de Juillet, monarchie constitutionnelle présentée comme "la meilleure des Républiques!" par le vieux La Fayette à l'issue des Trois Glorieuses des 27-28-29 juillet 1830, fut balayée par la révolution de février 1848, qui mit en place une authentique République (République, IIème). Cette ambiguïté du régime — entre monarchie et république — constitua son handicap fondamental. Pourtant, le règne du "roi bourgeois!" dura dix-huit ans et fut le cadre d'un développement économique considérable, en même temps qu'il permettait l'émergence de nouvelles réflexions politiques et sociales. La Charte constitutionnelle de 1830 était un compromis, proposé par une commission dont Dupin présenta les propositions le 6 août 1830 à la Chambre des députés, puis le 7 à la Chambre des pairs. Compromis entre, d'une part, la Charte de 1814, dont étaient préservés le bicamérisme, le suffrage censitaire (cependant défini par la loi) et la nature monarchique de l'État, et, d'autre part, les aspirations des monarchistes libéraux et des républicains : le principe électif était élargi, la liberté de la presse garantie, l'âge de l'éligibilité abaissé, le drapeau tricolore adopté, la Charte émanait de la nation et non plus d'un "!octroi!" accordé par le roi, le pouvoir de légiférer par ordonnances restreint et le pouvoir de proposer les lois partagé entre les deux Chambres et le roi. Le laps de temps séparant les Trois Glorieuses de l'adoption de la Charte trahissait aussi les difficultés rencontrées par les constitutionnalistes : la revendication républicaine était fortement exprimée dans les grandes villes, les légitimistes restaient puissants et dénonçaient l'usurpation orléaniste (Louis-Philippe d'Orléans) puisque Henri V, comte de Chambord, était selon eux l'héritier à la fois légitime et désigné par Charles X au trône. L'histoire politique de la monarchie de Juillet est dominée par l'affirmation de grands ministres : ceux qui avaient commencé leur carrière sous Charles X (Villèle et Périer) représentaient les partis du "!mouvement!" et de la "!résistance!"!; à partir de 1832, les gouvernements furent constitués autour de Guizot, de Thiers et de Broglie : journalistes et historiens, nobles libéraux constituaient l'ossature de ces "!classes éclairées!" sur lesquelles entendait s'appuyer le nouveau régime. Celui-ci combattit avec énergie les nombreuses émeutes républicaines et ouvrières comme celles des canuts de Lyon ou, en 1832 et 1834, celles des républicains parisiens. La garde nationale, reconstituée en 1832 sous le ministère Périer, fut l'instrument de ce maintien de l'ordre qui permettait un développement sans frein au libéralisme. La presse, à partir de 1834, fit à nouveau l'objet d'un contrôle très sévère.
Mouche (Françoise)	*La Terre* Fille de Mouche (père); demeure avec sa sœur Lise, même après le mariage de celle-ci avec Buteau, puis épouse Jean Macquart. Tuée par sa sœur dans une rixe en pleins champs.
Mouche (le père)	*La Terre* Frère de La Grande et du père Fouan. Père de Lise et de Françoise. Meurt d'une attaque d'apoplexie.
Mouche (Lise)	*La Terre* Fille aînée du père Mouche. Épouse Buteau. Meurtrière de sa sœur françoise.
Moulin	*La Bête humaine* Sous-chef de gare au Havre.
Moulin (Mme)	Femme du précédent
Moulineur	Ouvrier chargé de la manutention du charbon au jour
Mouquette (la)	*Germinal* Solide et plantureuse herscheuse, ouvrière qui pousse les berlines dans la mine
Mouret François	1817-1864 3 enfants *La Conquête de Plassans*
Mouret Hélène	1824-… 1 fille Jeanne Granjean *Une page d'Amour* Elle épouse l'employé Charles Grandjean (1841) mais celui-ci meurt en 1853. Elle tombe alors amoureuse du docteur Henri Deberle , toutefois, sa bonne éducation et ses principes l'empêchent de vivre cet amour... Elle se rend souvent chez lui et sa femme dans leur jardin à Paris pour y passer les après-midi Mais c'est avec Monsieur Rambeau qu'elle se mariera en 1857 .
Mouret Octave	*Pot-Bouille, Au Bonheur des Dames, L'œuvre* 1840-… 2 enfants. Marié à Mme Hédouin , héritier du bonheur des dames après la mort de sa femme. Assiste à l'enterrement de Claude (L'œuvre)
Mouret serge	1841-… Prêtre *La Faute de L'Abbé Mouret*
Mouret Silvère	1834-1851 sans enfant *La fortune des rougon*
Muffat	Nana
Musset	Musset (Alfred de), écrivain français (Paris 1810- 1857). Introduit dans le cénacle de Nodier, il se fait connaître par ses Contes d'Espagne et d'Italie (1830). Des essais malheureux au théâtre puis une liaison orageuse avec Georges Sand bouleversent sa vie. Il publie des pièces destinées à la lecture, dont Les Caprices de Marianne (1833), Fantasio, On ne badine pas avec l'amour, Lorenzaccio (1834), Le Chandelier (1835), Il ne faut jurer de rien (1836), des poèmes (Les Nuits, 1835-1837), un roman autobiographique (La Confession d'un enfant du siècle, 1836). A partir de 1838, malade et usé par les excès, il donnera encore des contes (Mimi Pinson), des proverbes (Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée, 1845), des fantaisies poétiques, exprimant les contradictions de sa personnalité : poète de la douleur et des sentiments exacerbés, il est aussi celui de la fantaisie légère.

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SON OEUVRE